80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La nécessité d'impliquer les populations dans le processus de prise de décision concernant la gestion des forêts constitue aujourd'hui une exigence incontournable au regard de l'importance que revêt le secteur forestier pour le développement durable et la lutte contre la pauvreté. Ainsi, après le Sommet de Rio de 1992, plusieurs Etats africains ont entrepris des réformes visant à assurer une gestion participative des ressources forestières. Au Cameroun, l'adoption d'une nouvelle loi forestière en 1994 a permis la mise en place d'instruments de gestion participative des forêts. L'Etat à travers les forêts communales, offre désormais l'opportunité de gestion de la propriété forestière aux Collectivités Territoriales Décentralisées.Il s'agit d'un instrument de gestion participative qui se veut un véritable outil de gouvernance et de financement du développement local. Mais sur le terrain, leur application pose quelques problèmes. Ces problèmes, liés notamment à l'insuffisance de valorisation du savoir faire endogène et d'appui-accompagnement des acteurs locaux à la maîtrise des techniques de gestion participative; méritent d'être résolus par des stratégies adéquates urgentes.
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