Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Georges-Guy Lamotte ; le dernier des socialistes

Couverture du livre « Georges-Guy Lamotte ; le dernier des socialistes » de Fernand Bloch-Ladurie aux éditions Aux Forges De Vulcain
Résumé:

Ce roman satirique est la biographie fictive de celui qui aurait été le dernier des grands hommes de la gauche française, Georges-Guy Lamotte. En respectant tous les codes de la biographie de personnage historique, avec force notes et références plus vraies les unes que les autres mais tout... Voir plus

Ce roman satirique est la biographie fictive de celui qui aurait été le dernier des grands hommes de la gauche française, Georges-Guy Lamotte. En respectant tous les codes de la biographie de personnage historique, avec force notes et références plus vraies les unes que les autres mais tout aussi fictives, l'auteur (tout aussi imaginaire) de ce livre drôle, grinçant et jubilatoire, en profite pour se moquer, parfois avec un oeil attendri, de la gauche française et de ses travers.
Georges-Guy Lamotte (1929-2007) est un personnage incontournable de la Ve République. Résistant de la dernière heure, éminence grise de François Mitterrand, avant d'occuper les fonctions de sénateur, il a été de tous les combats que la gauche a menés au nom du progrès dans la seconde moitié du XXe siècle. Il reste pourtant une figure méconnue. Que lui vaut cette disgrâce dans la mémoire nationale ? Est-ce son esprit visionnaire, qui le vit proposer une synthèse entre Karl Marx et Margaret Thatcher ? Est-ce sa vie mouvementée ? Fernand Bloch-Ladurie a décidé de se pencher sur ce mystère, et entreprend dans cette biographie politiquement incorrecte, qui retrace cinquante ans de socialisme et d'Histoire de France, de réhabiliter la mémoire d'un Homme que les bien-pensants ont voulu jeter aux orties.
" [...] finement documentée, cette satire politico-médiatico-universitaire est désopilante de la première à la dernière page. " (Elodie Emery, Marianne, 22 août 2012)

Donner votre avis