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En Afghanistan, en Irak, sous nos yeux, le monde change.
Ses lignes de fracture géostratégiques, ses crêtes diplomatiques, politiques et sociales, se brisent puis se ressoudent le long d'inédits linéaments. Du même coup, la guerre, elle aussi, change. En un peu plus d'un demi-siècle, les terrifiantes batailles de position ont perdu l'exclusivité des situations de guerre. Ainsi, les Forces spéciales, américaines, israéliennes, françaises, britanniques et russes, pour les plus importantes d'entre elles, suppléent-elles les pesanteurs et les risques des guerres conventionnelles.
La doctrine bien naïve du "zéro mort", la multiplication - surtout - des conflits de "basse intensité" (attaques terroristes, guérillas, etc.) requièrent de nouveaux guerriers, à la mesure de conflits nouveaux : surentraînés physiquement et mentalement, les membres des Forces spéciales - Bérets verts, SAS ou Spetsnaz - peuvent se glisser en territoire ennemi, des montagnes de l'Afghanistan aux collines de Sarajevo, et y demeurer de longues semaines en parfaite autonomie, afin d'y exécuter les missions les plus dangereuses et d'enjeux stratégiques.
Rapides, précis, discrets, ultra équipés, ces hommes travaillent de l'intérieur, comme à son insu, l'organisme à abattre.
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