"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le retour de John Difool va étonner plus d'un lecteur : on n'a jamais vu un Incal aussi bien dessiné, en combinant la lisibilité et l'élégance de Moebius avec la technicité et la modernité de Gimenez. Ce nouvel auteur prodige s'appelle José Ladrönn. C'est un artiste renommé outre-Atlantique. Dessiner l'Incal est le rêve de sa vie. Gageons que les fans ne seront pas déçus et que les qualités de l'album à elles seules convaincront aussi un large public.
Avec la saga de L'Incal, Jodorowsky et Moebius au début des années 80 avaient révolutionné la SF, introduisant un ton nouveau et des thèmes jamais abordés en bande dessinée. Aujourd'hui, l'idée de mêler space-opera et quête mystico-religieuse fait partie du menu courant. Alors la saga de L'Incal se retourne vers elle-même et creuse sa propre mythologie. Ce n'est pas moins de quatre John Difool différents qui deviennent les héros d'une histoire qui renoue avec le grand Jodorowsky de L'Incal Noir...
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