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« Elles sont à l'opposé des femmes extrêmes. Le contraire des femmes fatales. Ce sont les gourmandes, les femmes de plaisirs, les dames de coeur. Épicuriennes par nature et par inclination, par vocation, Mme de Sévigné, Mme de Tencin, Juliette Récamier, Colette, Arletty, Louise de Vilmorin, Françoise Sagan se ressemblaient, malgré les différences d'époque, de style et de mode. Elles avaient un air de famille. C'étaient des héroïnes de la vie, des charmeuses de l'existence, et celle-ci leur rendait la politesse. Elles croyaient à la légitimité du bonheur et mettaient le malheur en résidence surveillée », écrit Françoit Bott. Il évoque aussi Virginia Woolf et Katherine Mansfield, qui auraient pu se rencontrer un après-midi de septembre 1917 à Londres.
François Bott a l'art, en quelques pages délicates et légères, de restituer une allure, une silhouette, une insolence à vivre.
Un bonheur de lecture pour les amateurs de femmes.
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