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FEERIES ; féeries ; études sur le conte merveilleux (XVIIe-XIXe siècle) ; n°8/2011. le merveilleux français à travers les siècles, les langues, les continents

Couverture du livre « FEERIES ; féeries ; études sur le conte merveilleux (XVIIe-XIXe siècle) ; n°8/2011. le merveilleux français à travers les siècles, les langues, les continents » de  aux éditions Uga Éditions
Résumé:

Le numéro 2011 de Féeries intitulé « Le merveilleux français à travers les siècles, les langues, les continents » rassemble des articles de 10 spécialistes internationaux du conte de fées et du merveilleux sous toutes ses formes, non seulement en littérature mais aussi en culture populaire, en... Voir plus

Le numéro 2011 de Féeries intitulé « Le merveilleux français à travers les siècles, les langues, les continents » rassemble des articles de 10 spécialistes internationaux du conte de fées et du merveilleux sous toutes ses formes, non seulement en littérature mais aussi en culture populaire, en musique, et au cinéma.
Le conte de fées littéraire français, plus que tout autre genre de l'âge classique sans doute, a eu une influence internationale déterminante. C'est pourquoi le dossier thématique de ce numéro coordonné et introduit par Jean Mainil, spécialiste des contes de la fin du XVIIe siècle, étudie la transtextualité des contes merveilleux français et leur rayonnement sur d'autres cultures.
Jean-Paul Sermain examine tout d'abord les cousinages poétiques et historiques de La Belle et La Bête, en amont et en aval de Mmes de Villeneuve et Leprince de Beaumont ; Jean-François Perrin étudie les sources des contes orientaux de Gueullette et leur fortune en pastichant avec humour la théorie de Bayard du plagiat par anticipation ; Hute Heidmann analyse le dialogisme des contes de Perrault avec d'autres oeuvres de la littérature européenne ; Jack Zipes s'intéresse à l'adaptation filmique de La Barbe Bleue de Perrault par Catherine Breillat. Ensuite ce sont les traductions et/ou réécritures des contes de Mme d'Aulnoy et Perrault qu'envisagent, pour l'Angleterre, Glen Regard, et pour les Pays-Bas, Daphne M. Hoogenboezem. Catherine Velay-Vallantin part, de son côté, sur les traces du Chat Botté dans l'Angleterre du XVIIIe siècle, non seulement dans la littérature, mais aussi dans la tradition populaire. Enfin, Elizabeth Harries retrace le voyage de l'histoire de Mélusine, du Moyen Age à l'opéra de DvoYák Rusalka (livret de Kvapil).
Dans la partie hors thématique du numéro, Blandine Gonssolin montre quelles « petites machines à lire et à écrire » sont les contes de Mlle de Lubert.

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