Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
L'universel est à faire et requiert de ce fait la participation de l'humanité entière. C'est en cela que la philosophie de Fabien Eboussi Boulaga apparaît comme un hymne à la liberté, une exigence radicale de liberté et donc, d'autocréation.Pour cet Africain, philosophe, nous ne pouvons entreprendre qu'à partir de nous-mêmes. Au lieu « d'imiter des précédents étrangers », nous devons partir des possibilités émancipatrices présentes dans nos cultures. Toutefois, le projet d'émancipation du Muntu ne saurait ignorer les apports de la modernité, notamment la science moderne. Encore faudrait-il s'approprier, en les domestiquant, ces emprunts extérieurs. « Etre par soi et pour soi-même », tel est l'enjeu. Le Muntu doit réaliser son humanité en s'affirmant en tant qu'être libre faisant son histoire, en tant qu'être situé et incarné, en tant qu'être de désir et de volonté qui s'autodétermine dans des circonstances particulières ; c'est à dire un être dont l'histoire singulière participe à l'histoire commune. Dans sa praxis singulière, le Muntu contribue à l'histoire de l'humanité.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !