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Exilé volontaire dans une île de la mer Adriatique, devenu une légende, Exterminateur 17 reparaît un jour, sur une planète lointaine peuplée de réprouvés : Ellis. Conçu en 1970 par Dionnet et Bilal, Exterminateur 17 poussait la porte de leur inconscient pour renaître. Il a fallu presque trente ans pour qu'apparaisse un successeur, Igor Baranko, né l'année où Exterminateur 17 fut conçu. Ce qui n'est peut-être pas un hasard : il y a plus d'un point commun entre Enki Bilal, yougoslave, exilé à Paris, et Igor Baranko, ukrainien, qui se retrouva soldat en Afghanistan avant de gagner au loto sa carte verte et de partir pour l'Amérique. Si leur manière de dessiner est différente, leur vision du monde converge : ils viennent de pays déchirés par l'histoire. C'est la raison pour laquelle les quatre couvertures sont dûes à Bilal, puisque c'est la même histoire en somme, qui continue et qui s'achève certains points évoqués dans le premier tome, n'étant résolus qu'au quatrième, à la fin : la fin du monde.
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