"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
"En 1902, le peintre Eugène Carrière apprend qu'il est atteint d'un mal incurable. À la charnière entre les XIXe et XXe siècles, il a atteint une notoriété considérable. Souvent classé parmi les peintres symbolistes, il a déployé un style et une vision artistique qui n'appartiennent qu'à lui, à une période où la création artistique est d'une fécondité exceptionnelle. Dans le coma à la suite d'une intervention chirurgicale, il vogue dans un espace-temps indéfini au cours duquel il revisite les étapes de sa vie avec lucidité. Dans ses souvenirs, une large place est laissée aux amitiés qu'il a nouées avec Auguste Rodin, Paul Gauguin, le poète Francis Jammes, Émile Zola, les critiques d'art Jean Dolent et Gustave Geffroy, Georges Clemenceau, Isadora Duncan et tant d'autres. Il se remémore les actions qu'il a menées au nom de la liberté d'expression, notamment la création du Salon d'automne, ou à travers son projet de l'éducation par l'art. Féministe avant l'heure, dreyfusard, il aura été à la pointe des combats de son temps."
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