Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
Ce recueil d'Anas Alaili résonne en chacune de ses lignes avec l'intitulé même qu'il s'est choisi. Tardives en effet sont les étreintes que nous savons ressentir d'êtres sans terre, poursuivis par un malentendu perpétuel entre la mémoire historique et l'histoire des mémoires. Rarement Palestine presque jamais nommée n'a été aussi présente aux poèmes d'Anas Alaili. C'est dans la discrétion même du verbe écrire que le poète rassemble le lecteur autour du faire connaissance avec ce qu'il y a de plus révolutionnaire dans un signe d'amour au milieu des rêves dispersés.
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