80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Pour comprendre le phénomène d'estivation du complexe Anopheles gambiae, vecteur majeur du paludisme en Afrique sub-saharienne, nous avons entrepris un programme de recherche sur terrain de 2008 à 2013, sur financement du gouvernement américain à travers le Laboratory of Malaria and Vector Research, LMVR NIH/NIAID-US (95%) et du Programme de Formation des Formateurs (PPF) du rectorat de l'Université des Sciences des Techniques et des Technologies de Bamako-Mali (5%). Nous avons réussi à démontrer que: *la forme moléculaire M (actuelle An. coluzzii) est capable d'estiver pendant sept (7) mois dans la nature, *il y a une variation saisonnière du métabolisme aussi bien chez les anophèles sahéliens que riverains même en période de non estivation, *l'estivation réduit l'activité de ponte de 70 à 100% chez les anophèles en fonction de la disponibilité des gites larvaires, *les habitations humaines ne sont pas les abris privilégiés des anophèles pendant la saison sèche, *la densité et l'agressivité des anophèles étaient élevées de façon synchrone avec les hauteurs de pluies et l'humidité relative.
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