Sucrées, salées, amères, acides, il en est pour tous les goûts. Ces histoires brèves ont un spectre large. Elles touchent à des milieux variés, à des sujets divers, à des époques différentes.
Amours contrariées, subtilité des relations familiales (y compris par-delà la mort), destins de révolte ou de frustration, difficultés de vivre une foi, satire des moeurs d'aujourd'hui, dénonciation anticipée des erreurs et terreurs de demain.
Si le roman est un massif débordant de fleurs, la nouvelle est une rose dans un soliflore. Ce genre « boulonné serré », d'une extrême économie de moyens, accentue l'intensité des émotions et des indignations, les rend percutantes. Les silences, les dits courts sont parfois plus parlants que les discours.
Sa tétralogie sud-charentaise achevée, Jean-Marie Goreau s'est adonné à cet art exigeant avec enthousiasme. Une jubilation qu'il espère faire partager à ses lecteurs. Tout comme son amour des Charentes.
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