"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En 1809, le physicien Witt découvrit une petite planète entre Mars et la Terre. Comme il était coutume, depuis l'antiquité, il lui fut donné le nom d'une divinité, Eros, dieu de l'amour chez les Grecs et considéré comme le créateur de vie. « Il lui manque si peu de chose, derrière la vitrine de son oeil, pour atteindre Dieu ». Quand ses poèmes ne parlent plus d'elle, Moyita - la petite qui détient le noeud de sagesse en langue Akan - parle de La Femme. Ce recueil est un hymne au trésor féminin. Poésie écrite par une femme pour les femmes. Quant aux hommes qui les liront, parmi eux certains les pénétreront sans doute. Mais jusqu'à ce jour beaucoup n'accédant pas à leur partie féminine si profondément enfouie par l'éducation ne seront pas interpellés. En espérant que ceux qui feront l'effort de les lire seront sensibilisés à l'acceptation de cette féminité cachée. L'auteur Ania exprime par la poésie les divers états subis durant la vie d'une femme tour à tour enfant, mère, épouse, amante, créatrice, passeuse , et initiatrice ; elle plante ses poèmes comme l'on dit des contes le soir au clair de lune sur le sable fin.
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