Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
On croit souvent que l'art du haïku fut découvert en France après la destruction d'Hiroshima. C'est oublier qu'au début du XXe siècle des poètes initiés à la sensibilité japonaise écrivirent des haï-kaï (ou haïkus) rassemblés dans des plaquettes. Pendant la Première Guerre mondiale, de jeunes poètes qui avaient rendez-vous avec la mort se sont livrés à cet art de l'esquisse, saisissant un tableau en trois coups de brosse. Leurs textes sont plus que de simples poèmes : ce sont des projectiles, des éclats d'humanité, des brisures d'espoir, de peur ou de vie.
Leurs noms sont méconnus mais ils suscitèrent l'admiration de Max Jacob ou d'Eluard. Les voici rassemblés pour la première fois dans une anthologie. La fulgurance du fragment face au désastre de la guerre...
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !