Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Ce qui unit La femme de Pilate, La tour de Constance et La nuit allemande ? Une insoumission à toutes les formes de violence : violence politique, violence religieuse, violence sociale. Deux figures de femmes admirablement campées entrent en résistance à deux moments clefs de leur vie de femme, moments tragiques de l'histoire humaine : le procès de Jésus et les guerres de religion. Elles témoignent jusqu'à l'héroïsme d'un idéal chrétien de justice et de liberté intérieure, celui-là même qui fonde la réflexion de Gertrud von Le Fort au lendemain de la Shoah, exorcisant les vieux démons du matérialisme. Préface de Didier-Marie Golay Traduction de Henri Peter et Philippe de La Roncière AUTEUR Poète et romancière allemande amie d'Edith Stein, Gertrud von Le Fort (1876-1971) a inspiré les plus grands écrivains du XXe siècle, parmi lesquels Georges Bernanos avec La dernière à l'échafaud. Son art littéraire servi par un sens théologique des plus aigus la rapproche de Marie Noël dont elle partage la foi chrétienne et l'amour de la nature.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !