Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Ecrire en peintre...
Par delà la formulation métaphorique d'une hypothétique correspondance entre les arts, cet essai tente de comprendre pourquoi la peinture ne cesse de hanter l'oeuvre de Claude Simon, du " Tricheur " (1945) au " Jardin des Plantes " (1997). Empruntant à l'art pictural l'essentiel des présupposés qui fondent sa propre esthétique, l'écrivain se trouve en parfaite consonance avec certains peintres (au premier rang desquels figurent Cézanne ou Dubuffet) dont il partage les valeurs et les exigences.
L'analyse des romans relève comment la peinture s'inscrit au fil des textes, par brève allusion ou longues description, à partir d'oeuvres fictives ou d'autres bien réelles et identifiables (de Piero della Francesca à Bacon en passant par les portraits d'ancêtres où miroite l'univers familial). " Stimulant " particulièrement actif de l'imaginaire et de la mémoire, la peinture relance indéfiniment le désir de décrire, le désir d'écrire.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Découvrez 5 romans en format poche et tentez de les gagner...
Lovecraft comme vous ne l'avez jamais lu, à travers une sélection de lettres qui rend son univers encore plus complexe et fascinant
Des conseils de lecture qui sentent bon la rentrée !