Le réchauffement climatique de la terre n'est pas dû à des gaz atmosphériques à effet de serre émis par l'homme à travers ses activités. L'effet de serre de l'atmosphère limite les pertes thermiques de la terre dans l'univers alors que nous subissons une augmentation du rayonnement solaire qui frappe la surface du sol. Cette augmentation n'est pas causée par une variation de l'activité et du nombre de taches solaires mais une réduction de la couche d'ozone stratosphérique sous toutes les latitudes qui ne capte plus le rayonnement solaire ultraviolet le plus énergétique. Ce phénomène s'aggrave de plus en plus ces dernières années. Ce ne sont pas les molécules de chlorofluorocarbures qui sont seules responsables, mais aussi, les oxydes d'azote NO, NO2 et N2O émis lors de la combustion du charbon, du pétrole, du gaz et du bois. Les arbres dépérissent sous l'effet du rayonnement ultraviolet. Leurs mécanismes biologiques vitaux sont altérés. La situation est très grave, mais si l'humanité est capable de réduire immédiatement par deux ces combustions, la couche d'ozone va très rapidement se reconstituer, les températures et les climats retrouveront leur équilibre naturel et la flore végétale pourra de nouveau s'épanouir. Le livre propose de nouvelles filières énergétiques et de nouveaux modes de fonctionnement de nos sociétés humaines afin d'y parvenir.
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