80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La voix de Jocelyne Marazzano s'est faite un peu plus grave, ses mots plus assurés, ses vers un peu plus ombreux et donc plus proches de l'angoisse existentielle. En épigraphe, une pointe du grand Hugo sur l'importance de l'insignifiant (le rien, comme il le nomme) donne le ton. La poésie de Jocelyne Marazzano affiche désormais des images plus tranchantes, presque viriles. Son verbe y gagne en efficacité, tendant à rejoindre celui de son maître, Charles Minetti.
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