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Le ministère des Affaires étrangères a accueilli, en mai 2002, au Centre de conférences internationales à Paris, un colloque intitulé " Du Nord au Sud du Sahara.
Bilan et perspectives de cinquante ans d'archéologie française ". Cette rencontre faisait suite à la fusion, intervenue en 1998, du ministère des Affaires étrangères et de celui de la Coopération ; fusion qui a permis à l'archéologie subsaharienne de prendre une place essentielle dans le dispositif français d'aide à la recherche archéologique dans le monde. Dans le cadre de sa politique de coopération internationale, le ministère des Affaires étrangères soutient environ cent cinquante missions archéologiques, après avis de la Commission consultative des recherches archéologiques à l'étranger.
Il est apparu aux initiateurs du colloque que le moment était venu, d'une part, de permettre à la communauté scientifique concernée de mener une réflexion sur l'état actuel de l'archéologie en Afrique du Nord et en Afrique de l'Ouest (c'est le " bilan ") et, d'autre part, de permettre l'émergence d'initiatives nouvelles (ce sont les perspectives ") favorisant l'ancrage de cette vaste région africaine dans la communauté archéologique et scientifique internationale.
L'objectif principal de ce colloque était donc de donner aux chercheurs étrangers, invités à Paris, et aux archéologues français, engagés sur les terrains africains, l'occasion de présenter à leurs collègues un état de leurs recherches, de communiquer leurs diverses expériences et d'engager une réflexion commune sur l'avenir de la discipline. Le colloque s'accompagnait d'une exposition présentant les chantiers ouverts, en coopération, au Maghreb et en Afrique de l'Ouest.
Enfin, au-delà des résultats des travaux bilatéraux entre la France et les pays africains concernés, les organisateurs de la manifestation souhaitaient voir apparaître, au cours des échanges ; des projets associant plusieurs pays dans une même perspective de recherche ; ceci, afin de dégager des axes porteurs autour desquels pourrait s'organiser, dans les années à venir, la coopération dans les domaines de la recherche archéologique et de la valorisation du patrimoine.
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