80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Dominique Perrault, né à Clermont-Ferrand en 1953, a obtenu son diplôme d'architecte à l'ENSBA, puis d'urbaniste aux Ponts et Chaussées.
Il a très vite acquis une renommée internationale en remportant le concours de la bibliothèque François-Mitterrand (Paris, 1989-1995), puis ceux du vélodrome et de la piscine olympique à Berlin en 1992. Architecte, urbaniste et designer, il privilégie les structures simples, minimalistes, les espaces vides, les enfouissements, les décalages. Transfigurant le paysage architectural, ses bâtiments partent d'un vocabulaire de formes simples, enrichi par un travail sur les matériaux qui a pour effet de multiplier les effets visuels.
Ses projets jouent sur les confrontations végétal/minéral, nature/architecture, présence/absence, comme pour la BNF, dont la verticalité n'a de sens que si l'on imagine le jardin central enfoui au coeur de l'édifice. Le mobilier et les luminaires dessinés par lui prolongent son architecture: ils recourent au même vocabulaire de formes élémentaires et à des matériaux détournés du monde industriel, comme les mailles métalliques.
Perrault est probablement l'un des architectes dont les travaux suscitent le plus de débats. Son agence réunit actuellement une soixantaine d'architectes, designers et ingénieurs, et dispose de trois antennes (Paris, Luxembourg, Madrid). Ses principaux édifices en France sont la Bibliothèque nationale de France, la médiathèque Lucie-Aubrac de Vénissieux, le centre Georges-Pompidou à Metz, etc., mais il a construit également à Perpignan, Rouen, Lille, Marseille, Lyon, Nantes, Laval, Rezé, Caen, Bordeaux, Metz, Angers
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année