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« On a, je crois, les déserts que l'on mérite. On a aussi, parfois, ceux que l'on porte en soi et ceux que l'on fantasme et qui ont le pouvoir de nous réduire, de nous diminuer jusqu'au dérisoire, jusqu'à l'imperceptible, à l'anéantissement ou, au contraire, celui de nous agrandir, nous élever, nous sublimer, aux dimensions d'un infiniment grand intérieur, de plénitude et d'accomplissement.
(...) On pourrait dire que l'Aubrac est né de la lumière. D'un désir de lumière. Partout elle le baigne, l'enveloppe, le lave. L'entoure de toute son affection, de toute sa sollicitude. De cet amour tombé du ciel qui irradie la terre. Désir à fleur de peau qui flatte et qui caresse d'innombrables façons. » Cet essai buissonnier est un hymne d'amour à un territoire presque ignoré, pays réduit à l'essentiel - à l'espace, à la pierre, à l'attente. Il est une célébration de l'immensité à l'échelle réduite de l'être humain. Il est une poétique du dépouillement, une invitation au voyage intérieur : « Vers l'ailleurs par l'Aubrac ! »
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