Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Rien ne se passe jamais comme prévu. Même pas la fin du monde !
Suède, été 2011. Petra, astrophysicienne autodidacte, a calculé que l'apocalypse surviendrait le 21 septembre, peu après 21 h 20. Un drôle de hasard met la prophétesse de malheur sur la route de Johan - un homme certes un peu long à la détente, mais qui n'a pas son pareil pour régaler ses hôtes - et d'Agnès, une septuagénaire qui a fait fortune sur les réseaux sociaux en tant que jeune influenceuse . Bien décidés à profiter du temps qu'il leur reste et à régler ce qui doit l'être, les trois compères entament ensemble un road trip en camping-car, au cours duquel ils croiseront les grands de ce monde...
Que vous soyez collapsologue, amateur de bonne chère ou d'humour décapant, attachez vos ceintures, ça va secouer !
L’apocalypse est pour demain, Petra en est certaine après être venue à bout de ses 64 équations : l’atmosphère va s’évaporer le 21 septembre 2011 à 21h20 heure suédoise. Déprimée par cette issue inéluctable, elle rencontre Johann, un jeune homme simple, très simple, qui va la convaincre de régler quelques comptes avec son amour de jeunesse avant l’issue finale. Cette escapade de rien du tout va faire boule de neige, une boule de neige gigantesque improbable qui terminera sa course aux pieds de Barack Obama.
Depuis « le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire », Jonas Jonnasson est l’écrivain feel-good que je choisis lorsque j’ai envie d’un roman absurde, drôle et gentiment amoral : une parenthèse de joie simple au milieu de la grisaille du monde. « Dernier gueuleton avant la fin du monde » coche les cases de toute sa bibliographie : des personnages improbables, soit parfaitement dénués de morale, soit d’un cynisme assumé, soit d’une candeur totale s’embarquent pour des aventures tout autour du monde, qui les fera rencontrer les grands de ce monde (Ban-Ki Moon et Barack Obama dans le présent roman). Johan, finalement le personnage principal du roman, est un grand benêt très inculte, très limité qui n’a qu’un seul talent : la cuisine. En pur autodidacte, il a appris à cuisiner comme un chef et ses repas 5 étoiles parsème le roman (et ouvre quelques portes). C’est lui, sa naïveté et ses petits plats qui emporteront la petite troupe au sommet du monde. J’avoue aussi avoir eu de la tendresse pour Agnès, 70 ans, instagrameuse faussaire, fausse ingénue et vrai génie du mal ! L’épisode « Bvlgari » est savoureux. Le roman, où bien entendu rien n’est crédible, met en scène de façon apparemment désordonnée un dictateur africain, la mafia russe, la société LVMH, le fromage suédois, les banques suisses, un chauffeur routier danois cocu, Instagram, et j’en passe… C’est « picaresque », ca se lit sans aucune difficulté, c’est souvent drôle et on sait que cela va bien se terminer pour la petite équipe qui, même si elle cède parfois à la délinquance (financière ici) le fait toujours pour de bonnes raisons. Jonnasson n’hésite pas à, mine de rien, lâcher quelques scuds ici ou là sur tel personnage public, sur tel évènement historique. C’est fait mine de rien, avec le sourire mais ça fait mouche. Le roman n’est pas du tout inoubliable et il est en deçà je trouve de la saga « Alan » qui m’avait fait pleurer de rire. Il fait passer un bon moment, se lit facilement en dépit de ses 515 pages, et laisse derrière lui le souvenir fugace mais agréable d’une aventure gourmande aussi amusante que fantaisiste : un roman à mettre à côté de ses antidépresseurs sur la table de nuit.
Un auteur dont je voulais découvrir les textes et cette couverture m'a attiré. Des amis lecteurs m'ont parlé de cet auteur suédois mais n'avais jamais lu ses textes.
Voici une occasion. Prête pour un dernier gueuleton, car la fin du monde est proche. C'est du moins ce que pensent nos trois protagonistes. Nous sommes en 2011. Johan vient d'hériter d'un camping car (c'est une part de son héritage que son frère lui a offert, frère diplomate à Rome). Il est un peu le nigaud de la famille et voila que lors d'une manœuvre, il percute la caravane de Petra. ils sympathisent et croisent Agnès, une influenceuse du net de 70 ans qui leur prédit la fin du monde.
Nous voilà partis pour 10 jours avec ce trio, invraisemblable, pieds nickelés. Sur les routes vers Rome, il faut bien que Johan s'explique une bonne fois pour toute avec son frère, ils font des rencontres surprenantes (eh oui Obama est aussi invité à une soirée à l'ambassade !) puis ils vont s'installer sur une île, où ils vont décider de changer le monde, avant que celui disparaisse.
Très loufoque, beaucoup d'humour mais aussi des thèmes actuels, écologie, politique, fin du monde. Il y a des pages où on rit, on sourit et on savoure aussi des mets car Johan est un fin gourmet et surtout un sacré cuisinier, même avec peu.
Je me suis un peu perdue dans certaines situations mais d'autres m'ont réjouis.
Je vais donc continuer mes lectures de cet auteur et en particulier, "le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire", qui est depuis trop longtemps dans ma PAL.
#Derniergueuletonavantlafindumonde #NetGalleyFrance
Jonas Jonasson nous a installé dans un univers littéraire que l’on retrouve comme de vieux chaussons, confortables et sans surprise. Comme toujours, il développe jusqu’à l’absurde la théorie de l’effet papillon, puisqu’à chaque fois, des personnages insignifiants en arrivent à changer la marche du monde.
Ici l’équipe ne déroge pas à la règle, une mathématicienne capable de construire une prévision de la fin du monde en 64 équations va côtoyer un cuisinier très particulier, un russe ambitieux et une geek de 75 ans. A leurs côtés on croisera les plus grands de ce monde et l’on voyagera, beaucoup y compris dans des lieux fictifs. Tout cela en salivant à l’ évocation des petits plats préparés par Johan, le masterchef déroutant.
Autrement dit, l’auteur tient sa route et ne déroge pas à la règle, pour un roman aussi déjanté que les précédents. Et malgré l’absence de surprise, on passe ici un agréable moment,
Merci à Netgalley et aux éditions Presse de la cité
528 pages Presse de la cité 5 octobre
#Derniergueuletonavantlafindumonde #NetGalleyFrance
Rien ne se passe jamais comme prévu. Même pas la fin du monde !
Suède, été 2011. Petra, astrophysicienne autodidacte, a calculé que l'apocalypse surviendrait le 21 septembre, peu après 21 h 20. Un drôle de hasard met la prophétesse de malheur sur la route de Johan – un homme certes un peu long à la détente, mais qui n'a pas son pareil pour régaler ses hôtes – et d'Agnès, une septuagénaire qui a fait fortune sur les réseaux sociaux en tant que " jeune influenceuse ". Bien décidés à profiter du temps qu'il leur reste et à régler ce qui doit l'être, les trois compères entament ensemble un road trip en camping-car, au cours duquel ils croiseront les grands de ce monde...
Que vous soyez collapsologue, amateur de bonne chère ou d'humour décapant, attachez vos ceintures, ça va secouer !
Je retrouve l'écriture de Jonas pour son dernier roman, avec son humour décapant, ses situations improbables, et sa folie!
Divers personnages animent ce roman mais le principal est Johan. Cet homme est un peu simplet, mais un cuisinier hors-pair, un homme attachant, honnête et gentil.
Les autres personnages sont loufoques, barjes, chacun à leur façon.
Encore une fois, Jonas nous entraîne dans un périple autour du monde, mais dans lequel je me suis perdue..
De plus, je trouve qu'il reprend toujours les mêmes filons dans ses romans. Il commence toujours par une vengeance, un quiproquo, nous emmène dans un voyage aux multiples étapes et avec des rencontres fr gens actuels..
Bref, une lecture qui m'a moyennement plu...
Je ne vais pas vous mentir, je suis une grande fan des romans de Jonas Jónasson donc lorsque Babelio et les Éditions Presses de la Cité m'ont proposé lors d'une masse critique privilège de découvrir le dernier roman de l'auteur, j'ai fait une danse de la joie (Merci encore).
J'ai été contente de retrouver la plume de cet auteur et, rien qu'à la vue de sa couverture, j'ai compris que l'histoire que j'allais découvrir s'annonçait aussi loufoque que ce qu'il a l'habitude de nous proposer. Bien sûr, les situations décrites sont tellement ubuesques que l'on ne peut que sourire, voir rire aux éclats.
Si je voulais vous résumer en quelques mots cette histoire, je pourrais vous dire : fin du monde, nourriture, diplomatie et dépaysement garanti.
J'avoue que j'ai eu faim tout au long de cette lecture et, sans m'en rendre compte, je me suis souvent retrouvée en train de grignoter ce que je trouvais sous la main (je déconseille donc cette lecture pour les personnes qui essayent de perdre du poids).
Contrairement aux anciens livres de Jonas Jónasson, je lui ai trouvé quelques longueurs. Je me suis également moins attachée aux personnages que j'ai pu le faire dans le passé. Cependant, j'ai passé un bon moment de lecture et celle-ci s'est réveillée très instructive.
En refermant cet ouvrage je n'ai qu'une envie, goûter le fameux fromage de Burträsk qui d'après quelques sources, serait devenu le petit péché de Barack Obrama sans R.
« A l’heure où commence cette histoire, Barack Obama est président des Etats-Unis d’Amérique, Ban Ki-moon secrétaire général des Nations Unies […]. La Suède est dirigée par le Premier ministre Reinfeldt, chef du parti conservateur, qui, s’appropriant les questions chères à la gauche, a remporté deux élections de suite. Dans le même pays, un frère cadet simple d’esprit nommé Johan se retrouve seul au monde après que son aîné, Freidrik, est parti entamer une carrière diplomatique à Rome. C’est avec ce simple d’esprit que nous entamerons ce récit. Toutefois, il ne faudra pas longtemps avant que le monde entier s’en mêle. Y compris Obama, Ban Ki-moon et la Russie de Poutine. » Ainsi commence cette comédie déjantée.
J’avais adoré Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire. C’est avec un immense plaisir que j’ai retrouvé la plume drôle, sensible et grinçante de Jonas Jonasson. J’ai beaucoup aimé suivre les aventures de Johan, master chef de génie, de Petra, l’astrophysicienne loufoque qui a prédit à la minute près la fin du monde, ainsi que d’Agnès la septuagénaire aux cheveux mauves qui a fait fortune sur les réseaux sociaux en tant que jeune influenceuse, dans leur voyage déjanté. Bien décidés à profiter du temps qu’il leur reste, les trois compères commencent un road trip en camping-car afin de régler leurs comptes.
Leurs aventures sont toutes plus improbables et absurdes les unes que les autres, conduisant à ses situations aussi drôles que délirantes et, pourtant, l’ensemble fonctionne. De la Suède aux Etats-Unis, en passant par l’Italie et l’Afrique avec la crapuleuse république des Condors, tout en en dégustant du saumon fumé sur des blinis accompagnés d'un verre de Pouilly-fumé, et les nombreuses autres créations de Johan, nos héros nous offrent une histoire mignonne et pleine d’humour.
Suède, été 2011. La mère de Johan vient de décéder, laissant à ses fils un immense appartement de douze pièces avec cagibi (c’est important, Johan ayant été relégué très tôt dans le cagibi alors que son frère aîné Fredrik régnait sur le reste). Le père est parti il y a longtemps et mène la belle vie avec son amant. Fredrik, va prendre son poste à l’ambassade de Rome, en profite pour vendre l’appartement, en achetant un camping-car pour Johan qui ne sait pas conduire, en mettant bien entendu les papiers à son propre nom.
Johan arrive à « conduire » le fameux camping-car jusqu’à un terrain de camping mais il confond accélérateur et frein, droite et gauche et emboutit la caravane d’une prophétesse de l’apocalypse Petra, qui une fois l’effet de surprise assimilé lui explique que d’après son équation en 64 étapes qu’elle a mis neuf ans à résoudre, douze jours plus tard, la température va chuter à -273°, 15) entraînant la fin du monde. En attendant, il faudrait régler certains problèmes anciens qui ont laissé des séquelles sur leur vie d’adulte.
Au cours de cette expédition punitive, ils vont rencontrer Agnès, énergique septuagénaire, influenceuse sur internet qui décrit, photos truquées à l’appui, des voyages qu’elle n’a jamais faits qui va se joindre au voyage, c’est elle qui conduira le camping-car (elle n’a pas non plus de permis mais conduit le camion de l’entreprise familiale depuis plus de trente ans.
Dans ce voyage en Absurdie, on fait la connaissance d’Alexandre Kovaltchuk, conseiller principal de Gorbatchev, puis de Eltsine, avant de se mettre la mafia russe à dos et changer d’identité et de pays, accompagné de son ami de toujours Günther, et bien sûr Johan va sympathiser avec « Obrama sans r » comme il l’appelle, Ban Ki-moon entre autres, en leur parlant de son amour pour la cuisine, de ses plats recherchés sans oublier ses connaissances œnologiques…
Au début, je me suis beaucoup amusée avec cette lecture, que j’avais choisi afin de fuir un peu la sinistrose ambiante, et imaginer les scènes avec Obama ou Eltsine, qui introduit sur l’échiquier celui qui va devenir le cauchemar du XXIe siècle. C’est tellement improbable que le divertissement fonctionne, surtout avec les calculs erronés de Petra, l’infecte Fredrik qui appelle son frère « le nigaud » oubliant même qu’il a un prénom.
Mais, au fur et à mesure que je tournais les pages, j’ai commencé à soupirer : au bout d’un moment, on finit par tourner un peu en rond. J’ai ressenti la même chose en lisant, il y a longtemps « Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire ». Emballement, puis soupirs ce qui n’empêche pas de passer un bon moment.
Il faut reconnaître que Jonas Jonasson nous fait réviser l’Histoire, notamment de la Russie, mais la politique d’une époque des mafias, le blanchiment d’argent, les paradis fiscaux, en passant par Eltsine en caleçon à la Maison-Blanche.
Il y a des scènes hilarantes : Fredrik assistant dans l’ombre, lors d’une réception à l’Ambassade aux échanges entre Obama Ban Ki-moon et Johan, au comble de l’exaspération : qu’est-ce que le nigaud peut bien leur raconter ? ou encore, retrouver Alexandre, président auto-proclamé des Condors, paradis fiscal, sous le nom d’Aleko…
Je remercie vivement les éditions Les Presses de la Cité qui m’ont permis de lire ce roman avec la complicité de l’opération masse critique de Babelio.
https://leslivresdeve.wordpress.com/2023/11/21/dernier-gueuleton-avant-la-fin-du-monde-de-jonas-jonasson/
J'ai retrouvé l'humour du premier roman de l'auteur : "Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire". Trois personnes se rencontrent, n'ont rien en commun mais plaquent tout pour faire route ensemble. Parmi eux, Johan a été l'esclace de son frère pendant de longues années mais il a pourtant un talent de cuisinier hors pair et il le découvre. A part ça, c'est un nigaud. Petra est astrophysicienne et d'après ses calculs, la fin du monde est très proche. (Ce qu'on ne souhaite pas en tant que lecteur, si non l'histoire se terminerait trop vite...). Quant à Agnès, elle n'a jamais quitté son village mais a parcouru le monde grâce à internet. Elle est devenue une pro en la matière. Et par un heureux hasard, ces trois énergumènes partent donc sur les routes dans le but de se venger. Yohan finit par exemple par comprendre qu'il s'est fait rouler par son frère. La route sera longue (ils ne se contentent pas de l'Europe) et pleine de péripéties, de rencontres aussi inattendues, celle d'Obama entre autre, qui devient même l'ami de Yohan. (Quiconque a goûté au Västerbotten peut comprendre...). de plus, grâce au masterchef Yohan, c'est gueuleton tous les jours pour les trois aventuriers. Dernière destination : Les Condors. Ce sera pour Yohan l'occasion de devenir ministre des affaires étrangères... En même, temps, ce beau petit monde trouve le moyen de mettre en place des arnaques financières assez farfelues (mais là j'avais plus de difficultés à suivre...). Dans tous les cas, il fallait bien vivre... en attendant la fin du monde.
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