80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Des prêtres quittent le clergé. En claquant la porte ou ayant obtenu de Rome les autorisations nécessaires. Naguère, leurs départs s'expliquaient par des troubles psychologiques, la perte de la foi, ou le désir de se marier. Depuis quelques années, une autre attitude est fréquente : celle des prêtres qui contestent l'Église, veulent la quitter pour purifier leur foi, veulent quitter le clergé pour rester prêtres. Ils dissocient le sacerdoce et le genre de vie imposé aux membres de ce corps social qu'ils pensent condamné. La condition faite aux membres du clergé explique à la fois ces départs, la crise profonde que l'on peut discerner chez ceux qui restent, et la chute des vocations.L'Église de demain devra-t-elle donc se passer de prêtres ? Sinon, il faut alors changer radicalement la condition du prêtre. Il faut détruire le " clergé ". L'auteur analyse certains des éléments qui devraient permettre la " déclergification " du sacerdoce : mariage, travail professionnel exercé par des prêtres, spécialisation des tâches, nouvelle organisation de l'Église, etc.Sans prétendre résoudre entièrement le problème posé, ce livre voudrait ouvrir de nouvelles voies constructives aux débats actuels sur la crise du sacerdoce.
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