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Sport de combat pour papilles affûtées, la dégustation est un art partial, que l'on peut pratiquer seul ou à plusieurs.
Sans nunchaku, mais avec néanmoins quelques notions et règles de base qu'il convient de connaître avant de se jeter tel un fauve dans l'arène des championnats de dégustation de la Revue des vins de France ou dans la jungle des foires au vin et des salons en caves particulières, là où le vigneron est le plus souvent condamné au service à perpétuité sans parvenir à faire un ace de conversation. L'absolu n'existant pas, hormis dans les livres ou les guides spécialisés qui en font commerce de façon totalement mercantile, l'amateur avisé évitera de se laisser abuser par le critique au teint rougeaud, à l'ego surdimensionné, sous peine de se retrouver avec une cave remplie de grands crus aussi chers qu'imbuvables ou de vins aussi mauvais qu'invendables.
Ce petit [mal]traité de dégustation n'est donc pas destiné à apprendre l'art et la manière de déguster, il y a suffisamment d'ouvrages autrement plus sérieux sur le sujet pour cela. Il pourrait, par contre, simplement aider à jeter les bases d'un exercice périlleux lorsqu'il n'est pas suffisamment préparé. Agrémenté de 5 souvenirs personnels de dégustation rigoureusement authentiques (juré craché ou avalé), tel est son unique but. Si l'on excepte celui d'arracher au lecteur un rictus envieux, voire un sourire en coin. Parfois les deux. Peut-être. Auquel cas son objectif serait doublement atteint.
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