80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« C'est une maison de fous mais personne ne le sait. L'air y est irrespirable. En apparence, tout va bien. Nous habitons dans les hauteurs de Nairobi, près des champs de thé avec Numa, ma nounou, et Georges, le jardinier. Nous faisons des fêtes, la maison est ouverte à tous. Tous les week-ends, nous partons chasser dans l'un des plus beaux parcs africains, le parc d'Amboseli. Tous les dimanches soir, mon père arrête la voiture sur la plaine pour admirer le coucher du soleil sur le Kilimandjaro. C'est beau. Un moment de grâce dans une vie de chaos. » Agnès a longtemps cru qu'elle échapperait au fracas de son enfance, que devenir quelqu'un d'important la sauverait. Mais elle se trompait. Sa survie, elle la doit aux fous rires inopinés, aux gestes de tendresse glanés ici et là, à l'espérance qui l'a portée. On appelle ça la résilience. Mais n'est-ce pas plutôt l'instinct de survie ? Et la chance aussi ? Car oui, quoi qu'on en dise, Agnès a eu beaucoup de chance...
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