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Da ida e pingala a ida e ida o pingala e pingala

Couverture du livre « Da ida e pingala a ida e ida o pingala e pingala » de Roberto Cuoghi aux éditions Les Presses Du Reel
Résumé:

Une aventure sur les dérives de la traduction, le voyage d'un texte riche en ambiguïtés, préparé pour engendrer des erreurs : livre d'artiste multilingue (plus de 15 langues différentes viennent traduire un texte de Roberto Cuoghi écrit en italien), illustré en couleurs et en vernis sélectifs,... Voir plus

Une aventure sur les dérives de la traduction, le voyage d'un texte riche en ambiguïtés, préparé pour engendrer des erreurs : livre d'artiste multilingue (plus de 15 langues différentes viennent traduire un texte de Roberto Cuoghi écrit en italien), illustré en couleurs et en vernis sélectifs, avec un essai de YorgosTzirtzilakis.
Ida et Pingala - deux canaux d'énergie qui, dans le yoga Kundalini s'entrecroisent tout en cheminant le long de la colonne vertébrale et dont les points de croisement correspondent aux chakras.
Ida se caractérise par une énergie lunaire, calmante et rafraîchissante. Le point de départ de ce canal se trouve à gauche du premier chakra et son aboutissement prend fin dans la narine gauche.
Pingala est le véhicule de l'énergie solaire pleine d'ardeur et d'élan. Le point de départ de ce canal se situe à droite du premier chakra pour aboutir au-dessus de la narine droite.
Egalement disponible en édition de tête accompagnée d'une épreuve numérotée et signée.
Grâce à un éventail de supports non conventionnels, Roberto Cuoghi (né en 1973 à Modène, vit et travaille à Milan) explore les idées de la métamorphose, de l'hybridité et de la violence. Il questionne l'identité, l'autorité, l'origine et l'originalité, entre fiction et réalité.
Dans le passé, il s'est attaché à différentes techniques comme la peinture, le dessin, la sculpture et l'animation pour faire face aux défis de l'auto-représentation et de la transformation physique et psychologique. En 1998, alors qu'il n'avait que 25 ans, il s'est littéralement transformé en un vieil homme beaucoup plus âgé, son père, dans la manière de se vêtir, de se comporter mais aussi de s'alimenter pour finalement ressembler à un homme d'une soixantaine d'années, barbe blanche et forte corpulence. Probablement son projet le plus légendaire.
En 2008 et ce durant deux ans, Roberto Cuoghi se mit à étudier de façon passionnelle voire obsessionnelle les langues et rituels assyriens puis il édifia une reproduction gigantesque d'une amulette assyro-babylonienne emblématique du démon / dieu Pazuzu, conservée au musée du Louvre. Pazuzu est une divinité assyrienne d'environ 612 avant notre ère, démon du vent tant craint qu'adulé ; « Evil drives evil away » (Le mal chasse le mal). L'artiste a mené de nombreuses recherches sur ce démon : son identité, ses multiples facettes et ses multiples représentations.
Les oeuvres de Roberto Cuoghi ont été présentées lors d'expositions personnelles au Hammer Museum à Los Angeles en 2011 et au Centre International d'Art et du Paysage de l'île de Vassivière à Baumont du Lac en 2007. Son travail a également été inclus dans un certain nombre de grandes expositions collectives internationales comme lors de la 53e et 55e Biennale de Venise (Belinda, 2013), de la Biennale de Gwangju de Corée du Sud en 2010, « Italique : l'art italien entre tradition et révolution, 1968-2008 » au Palazzo Grassi à Venise, au Musée d'Art Contemporain de Chicago, dans « After Nature » du New Museum de New York en 2008, etc.

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