"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Comment se sépare-t-on d'un pharaon, d'une légende, de sa vie d'homme ? personne ne sait.
On ne choisit jamais son dernier temps d'amour. et comment vivre quand on a cessé de vivre ? ce livre essaie de retrouver le mouvement par lequel, sans se prévenir, un soir d'automne 2000, le matador le plus célèbre d'andalousie, curro romero, 66 ans dont 49 d'arène, s'est retiré des toros. à séville, les garçons de café l'appellent curro, les taurins romero, les autres curro romero. ce récit aurait dû s'intituler : " la céleste et souvent désastreuse vie de 50 ans d'arte, du torero pour qui se damna séville, francisco làpez romero, à la fin du siècle dernier ".
Mais son titre est évidemment : curro, romero, y curro romero.
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