80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
L'auteur a ouvert les portes de nos coeurs en laissant parler les enfants de la rue appelés en RDC « les phaseurs » à travers des témoignages à la fois poignants et révoltants, l'auteur a, nous semblent-t-il, réussi son coup. Il nous offre un voyage émouvant au coeur même de la vie de ces enfants à savoir le marché.A la lecture, le phénomène reprend de son actualité, de son ampleur et surtout de sa cruauté. Devant ce palanquin de larme, il ne nous reste qu'une chose : dire « non » et nous mobiliser.Le premier aspect a trait à ce que font les petites filles c'est à dire « passage » (rapport sexuel):Elles n'ont aucun autre moyen pour avoir de l'argent que de faire l'amour avec les hommes, plus grave encore les hommes normaux de tout âge, l'écart d'âge ne leur dit absolument rien, tout le monde peut y monter, les soldats, les papas sentinelles et les passants.Le deuxième aspect a trait à ce que font les grands garçons:Ils n'ont aucun moyen pour survivre que de voler, le vol est la monnaie courante chez eux, donc sans cela, ils ne peuvent pas vivre, ils ont des visages déformés suite aux coups et blessures qu'ils subissent quand ils sont attrapés pendant le vol.
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