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La correspondance de Maurice Genevoix et de Jean Guéhenno se compose de 204 lettres, un corpus équilibré : 99 pour Genevoix, 105 pour Guéhenno. Une introduction explique la naissance de leur amitié et le parcours de leur vie privée et professionnelle. Cette correspondance est attachante et curieuse. Les deux hommes, Maurice Genevoix (1890, Decize - 1980, Javea, Espagne) et Jean Guéhenno (1890, Fougères - 1978, Paris), se sont connus en 1912, à l'École normale supérieure de Paris. Ils ont subi le traumatisme de la Grande Guerre. Genevoix, entré en 1946 à l'Académie française, en devient le secrétaire perpétuel de 1958 à 1974. Guéhenno, invité subtile-ment par Genevoix, y entre en 1962. La première missive du 22 février 1917 est signée par Genevoix et la dernière du 2 décembre 1978 d'Annie Guéhenno. Les lettres sont complétées par un ensemble de notes précises car les deux hommes font de nombreuses allusions à leurs amis réciproques et aux membres de leurs familles. À la fin de l'ouvrage nous y trouvons le discours de Genevoix pour la remise du Prix Cino el Duca à son vieil ami, en juin 1973, et la réponse de ce dernier. Pour clore, sont dévoilés deux portraits de femmes essen-tielles dans leur vie d'enfant et d'adolescent. Nous avons également un index alphabétique reprenant les noms propres, les titres d'ouvrages, de revues et de journaux et un cahier de photographies.
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