Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
L'événement majeur de la période 1958-1960 est l'hommage que la Ville d'Ostende rend au dramaturge le 16 juillet 1960, au Casino-Kursaal, suivi de la représentation de Masques ostendais et d'une exposition documentaire dans la Maison de James Ensor. Ghelderode écrit à la plupart des metteurs en scène qui l'ont joué pour leur demander des photos de scène, à plusieurs peintres qui ont fait ou feront son portrait (Jean-Jacques Gailliard, Jacques Boonen, Louis Henno, Marcel Stobbaerts, Robert Vanheste). Après la grande fête du 16 juillet, il adresse de nombreuses lettres à toutes les personnes qui ont joué un rôle dans la réalisation de cet hommage : Jean Stevo, Jan Boon, Samuel Draper (qui vient de fonder à New York l'Association The American Friends of Michel de Ghelderode), Jean Ray devenu un de ses meilleurs amis... À partir de 1958, son théâtre n'est plus guère joué à Paris, mais il commence à conquérir les Etats-Unis. La rivalité entre George Hauger, son traducteur anglais qui jouit d'un privilège exclusif, et les hommes de théâtre américains, qui désirent publier et représenter des traductions américaines, fait toutefois beaucoup de tort à la santé de Ghelderode et au rayonnement international de son théâtre.
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