80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Avec les Contes magiques de haute kabylie de Salima Aït-Mohamed, il n'y a aucun doute ! nous sommes bien dans les contes du premier courant méditerranéen, oeuvres locales et rurales qui font partie du répertoire féminin berbère, Ici nous sommes plongés dans la magie des montagnes du Djurdjura, nos héros sont les défenseurs de la communauté villageoise contre les forces maléfiques et dangereuses de la nature : ogresses ( teryel ) hydres et autres puissances surnaturelles du monde sauvage., Puisés de l'oralité, source première de la culture Amazighe, on y retrouve ses préceptes, ses interdits, ses peurs et ses rêves; sa mémoire et son interprétation du monde, lucide et pugnace. Les contes sont fait pour être racontés, être transmis... Ils doivent circuler partout dans le monde à l'image du Grain magique de Taos Amrouche. ou des contes de Mouloud Mammeri.
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