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Paris, 2017 : Anouck travaille sur son 8e roman, et sa fille Sasha vient de rentrer de Londres. Tout d'un coup, Anouck dit : tu sais Sasha, un jour Jean-Jacques Goldman m'a sauvé la vie. Sa fille lui répond étonnée : Quoi ? Ça va pas ? Et ainsi, Anouck commence à lui raconter l'histoire du Walkman rouge.
Tout commence en 1986, le jour du drame. Sa soeur Monica vient de mourir avec son bébé. Face à cette douleur, Anouck ne savait pas comment survivre, elle se sentait sauter d'un immeuble, mais elle ne le fera pas.
Comme derrière une vitre, Anouck raconte comment elle a survécu. Avec son Walkman rouge et la voix invisible d'un chanteur, Jean-Jacques Goldman. Elle le rencontrait sans cesse, comme si Monica l'avait envoyé en aide du ciel où elle est peut-être.
Personne ne sait comment les gens survivent à la mort d'une personne absolument nécessaire. C'est tellement universel et en même temps tellement intolérable.
Anouck s'enferme pendant 3 ans avec la voix de Jean-Jacques Goldman. Autour d'elle, son Walkman est accepté. Il faut l'aider. Alors peu importe si c'est tel ou tel objet. Pour Anouck, c'est un Walkman rouge, sa prison où elle vivra symboliquement 3 années, mais d'où la vie sortira un jour de novembre. Anouck reviendra à la vraie vie à la naissance de sa fille Sasha.
Ce roman raconte l’histoire d’une jeune fille qui a trouvé comme solution pour s’en sortir après le décès de sa sœur, de vivre avec un baladeur en permanence sur les oreilles et en n’écoutant que Jean-Jacques Goldman.
Avec un style très vivant, on va suivre cette jeune fille dans le parcours de sa résilience, dans son cheminement vers l’âge adulte et vers son rôle de mère.
Ce texte est un hommage à la vie, à la force qu’Anouck a dû déployer pour s’en sortir, à sa pugnacité et à la puissance de l’amour.
L’écriture est vivante, prise sur le vif, comme une voix enregistrée en temps réel, avec de nombreux dialogues qui animent le texte.
Je pensais trouver un roman mélancolique et sombre, pas du tout. C’est enjoué, loufoque parfois, tout en mouvement et en échanges qui construisent Anouck. Au fil du texte, on assiste à la transformation d’une femme construite sur les bases d’un passé difficile.
Une lecture vers laquelle je ne serais pas forcément allée si on ne me l’avait pas conseillée et qui s’est révélée être une belle surprise.
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