Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
En 2012, sur le chemin de Compostelle, Marie-Édith Laval discute avec un pèlerin japonais qui lui parle d'un pèlerinage bouddhiste sur une île de l'archipel japonais du nom de Shikoku. De retour à Paris, oppressée par son quotidien routinier, Marie-Édith Laval décide de repartir marcher.
Sa destination est toute trouvée : Shikoku, surnommé le « Compostelle japonais ». L'été suivant, elle met ses pas dans ceux de Kûkai, fondateur du bouddhisme Shingon, et parcourt 1400 kilomètres pour faire le tour des 88 temples de l'île.
Sur ce trajet, divisé en quatre préfectures (Éveil, Ascèse, Illumination, Nirvana), elle vit des moments intenses de découvertes parfois cocasses, de rencontres lumineuses, d'émotions, d'émerveillements et d'épreuves.
Une pérégrination tant géographique qu'intérieure, intime et spirituelle.
Avec humour, joie, sincérité et profondeur, Marie-Édith Laval lance une invitation à avancer sur le chemin de la vie. Le récit de ce parcours de sagesse séduira les amoureux de la marche à pied, les âmes en quête de sens et tous les explorateurs avides d'essentiel.
J'avais écouté l'auteure parler de son pelerinage lors d'une redifusion d'une émission sur France inter à l'été 2015 et j'avais été portée par ses mots, son récit.
Ma mère m'a offert ce livre et tous les soirs j'en lisais un passage.
C'est mieux qu'une méditation, mieux que le yoga.
L'auteure nous transporte avec elle sur les chemins de cette petite île japonaise.
Je suis conquise.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs