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L'abstention massive des Africains aux jeux olympiques de Montréal, à la demande de l'O.U.A., en juillet 1976, est encore présente à la mémoire de tous ceux qui s'intéressent au sport de compétition. Ce fut une affaire extraordinaire à plusieurs points de vue. D'abord par la levée de boucliers qu'elle provoqua dans l'opinion et la presse internationales. Ensuite par l'exploitation peu objective et souvent erronée qu'en firent les media. Enfin par l'impact qu'elle eut sur les peuples africains qui pleuraient encore, en ce mois de juillet 1976, les victimes du massacre de Soweto. Le sport africain n'avait pourtant pas attendu cette date pour s'affirmer sur le plan mondial. Au travers des jeux de Brazzaville (juillet 1965) et ceux de Lagos (janvier 1973), les pays d'Afrique et de Madagascar avaient fait preuve de la vitalité de leurs jeunes équipes. A Rome, à Tokyo, à Mexico, des athlètes africains avaient remporté des victoires. Mais il restait à décrire la naissance de ce sport africain et son organisation. L'ouvrage de Jean-Claude Ganga vient à point. De nationalité congolaise, l'auteur est depuis de nombreuses années secrétaire général du Conseil Supérieur du Sport Africain. Il a été - et il demeure encore - un acteur et un témoin privilégiés de la naissance et du développement du sport en Afrique. Son livre est un document autobiographique en même temps qu'un récit et un bilan des vingt premières années du sport africain.
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