L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
J'aime jongler avec les mots ; les homophonies, les paronymes. J'accepte que les acceptions aient une orientation détournée dans un contexte différent mais cohérent en créant la surprise par un étonnant brassage. J'aime la musique des mots, les assonances, les allitérations, les insolences du langage, oser l'incursion phonétique dans le sensuel de la vie.
Je n'aime pas l'hémophilie ni l'hémogénie indigène qui gêne la gynécologie victime hégémonique d'un trouble héréditaire; mais j'aime le mot « philosophie » plein de sagesse et d'amour qui ne file pas en soie un mauvais cocon pour Sophie connue pour ses malheurs et ses stances qui avec constance en dix stances sait marquer la distance. Aller à Thouars est une façon de visiter une ville des Deux Sèvres mais il est aléatoire d'y trouver la mortaise dans la Niortaise et le tenon dans la Nantaise.
« Ce qui fait la beauté du désert, c'est qu'il cache un puits quelque part ». Il ne doit pas être altéré ou tari s'il est un puits de sciences quand celui qui l'a trouvé est assoiffé de connaissances et de reconnaissance inépuisable.
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