L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
« À tous ceux qui ont beaucoup gagné à savoir perdre. » Quelle belle épitaphe olympique que celle de Christian Montaignac, qui promène ici sa mémoire de Munich (1972) à Athènes (2004). Dans ce panthéon où il y a bien plus de vaincus que de vainqueurs, Montaignac confesse un réel attrait pour tous ceux auxquels il aura manqué le dernier souffle, le coup de pouce du destin. Au fil des mots, on est à l'écoute du plus intime, ce quelque chose d'indicible, le coeur des losers.C'est pour ces sans-grade, ces battus sans lauriers, que Christian Montaignac se souvient et tente ainsi de se guérir lui-même de ces moments perdus. Dans une prose magnifique où se mêlent souvenirs et sourires (avec l'ami Antoine Blondin), l'auteur nous régale de moments en partage qui donnent une tout autre saveur à la grande Histoire des Jeux olympiques.Athlètes évoqués : Moshe Weinberg (Munich, 1972), Filbert Bayi (Montréal, 1976), Alexandre Romankov (Moscou, 1980), Gabrielle Andersen-Schiess (Los Angeles, 1984), Roy Jones (Séoul, 1988), Merlene Ottey (Barcelone, 1992), David Khakhaleichvili (Atlanta, 1996), Andrea Raducan (Sydney, 2000) et Vanderlei de Lima (Athènes, 2004).
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique