Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Tout au long de ce récit d'apparition et de dispariton un certain nombre d'indices annoncent et développent le thème de la confusion de la vie et du livre : de plus en plus, le héros-narrateur «passe» dans les mots, devient les mots eux-mêmes. D'ailleurs, la première phrase de Coda, l'exergue, est aussi la dernière du livre qui, de la sorte, se referme sur lui-même, s'engloutit en lui-même. Quant à l'écriture de Coda, conte fantastique, elle a la perfection de la transparence. Son rôle n'est pas de s'interposer entre le lecteur et le «fond» de l'histoire, son rôle est d'absorber le lecteur et de le faire disparaître lui aussi dans les mots... Coda est un récit de suspense, et ce suspense est de plus en plus prenant au fil des pages, de plus en plus angoissant, dans la mesure où l'enjeu, d'une manière ou d'une autre, consciemment ou non, est l'existence même du lecteur...
En général j'aime bien les romans de René Belletto. Mais là je n'ai pas tout compris ! Le héros a inventé le mouvement perpétuel, donc l'immortalité...
Soit c'est vain, soit c'est trop alambiqué pour que j'aie envie d'approfondir...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Découvrez 5 romans en format poche et tentez de les gagner...
Lovecraft comme vous ne l'avez jamais lu, à travers une sélection de lettres qui rend son univers encore plus complexe et fascinant
Des conseils de lecture qui sentent bon la rentrée !