Récits, romans, pièces de théâtre, biographies ou nouvelles; la diversité des genres d’écritures a toujours inspiré le cinéma et ils ont eu droit au tapis rouge sur la Croisette.
Les frères Vicario ont annoncé leur intention meurtrière à tous ceux qu'ils ont rencontrés, la rumeur alertant finalement le village entier, à l'exception de Santiago Nasar. Et pourtant, à l'aube, ce matin-là, Santiago Nasar sera poignardé devant sa porte.
Pourquoi le crime n'a-t-il pu être évité ? Les uns n'ont rien fait, croyant à une simple fanfaronnade d'ivrognes ; d'autres ont tenté d'agir, mais un enchevêtrement complexe de contretemps et d'imprévus - souvent joyeusement burlesques -, et aussi l'ingénuité ou la rancoeur et les sentiments contradictoires d'une population vivant en vase clos dans son isolement tropical, ont permis et même facilité la volonté aveugle du destin. Chronique d'une mort annoncée est un roman hallucinant où l'humour et l'imagination du grand écrivain colombien, prix Nobel de littérature, se débrident plus que jamais pour créer une nouvelle et géniale fiction sur les thèmes éternels de l'honneur et de la fatalité.
Récits, romans, pièces de théâtre, biographies ou nouvelles; la diversité des genres d’écritures a toujours inspiré le cinéma et ils ont eu droit au tapis rouge sur la Croisette.
Je viens de lire le résumé il me tente de le decouvir ,l histoire est cruelle mais passionnante a lire
Je ne connaissais pas cet auteur, j'ai acheté le livre d'occasion et l'ai choisi en lisant les critique ditirambique reporté sur la couverture :
- "Chronique d'une mort annoncé est un livre aussi beau, aussi poignant, aussi fort que Cent ans de solitude" Le Matin
- "Un livre hallucinant où l'humour et l'imagination d'un grand romancier colombien se débrident plus que jamais" ???
Après lecture tout ça est à mon avis très exagéré. Cependant c'est un livre intéressant avec une certaine originalité.
L'histoire est affligeante 2 frères doivent tuer un de leurs amis pour l'honneur de leur soeur. En effet la soeur répudié par son mari car elle n'était plus vierge, accuse l'ami en question dêtre le séducteur. Les deux frères se soumettent à la tradition qui leur impose de laver l'outrage dans le sang, mais en même temps s'en passerait bien, et donc ils passent plusieurs heures à parcourir le village en annonçant leur intention, et là.... personne ne bouge
Donc pas si mal mais jen ne pense pas que j'en garderais au fil des années un souvenir impérissable.
"Le jour ou il allait être abattu, Santiago Nasar s'était levé à cinq heures et demie du matin pour attendre le bateau sur lequel l'évêque arrivait." A l'instar de Kafka dans "La métamorphose", tout est dit dès la première ligne. C'est un petit roman très bien construit, GG. Marquez maîtrise à la perfection la construction narrative de son histoire, ce qui est le signe d'un grand écrivain. On y retrouve également certains parallèles avec le "Macbeth" de Shakespeare, à lire.
Je l'ai largement préféré à "cent ans de solitude"; Au moins, je ne me suis pas ennuyée
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