Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Cette Chronique d'un égarement pourrait s'intituler " Chronique de l'impondérable des jours ". La première phrase, " je suis perdu " est non pas le fil " directeur " mais le leitmotiv de ce livre. D'où l'exergue empruntée au grand poète israëlien Israël Eliraz, dont l'auteur se sent très proche : " Tu me dis : vois les choses de plus près // ensuite observe-les dans leur insomnie, où / je suis totalement perdu ". Car, ce n'est que dans l'égarement au coeur même du monde balisé, sans surprise, de la routine qu'on appelle " réalité ", ce n'est que dans la perte de tout repère, à travers cet exercice de méditation où se croisent paradoxe et humour, angoisse et éblouissement, que quelque chose peut soudain se produire : le sentiment d'une présence. Illimitée, apparaissante, disparaissante, sans cesse poursuivie dans tous ses livres, celle du merveilleux, de l'épouvantable, de l'inaccessible " réel ".
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !