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Chronique d'un désastre judiciaire

Couverture du livre « Chronique d'un désastre judiciaire » de Charles Debbasch aux éditions Colonna
  • Date de parution :
  • Editeur : Colonna
  • EAN : 9782915922073
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Pendant plus de 10 ans, Charles Debbasch a géré bénévolement la fondation Vasarely au nom de l'Université d'Aix-Marseille III avec le concours unanime du Conseil d'administration. Il en a fait l'un des plus beaux joyaux de l'atr contemporain.Sommé par les héritiers Vasarely qui veulent... Voir plus

Pendant plus de 10 ans, Charles Debbasch a géré bénévolement la fondation Vasarely au nom de l'Université d'Aix-Marseille III avec le concours unanime du Conseil d'administration. Il en a fait l'un des plus beaux joyaux de l'atr contemporain.Sommé par les héritiers Vasarely qui veulent réintégrer dans leur patrimoine personnel les toiles données par Vasarely au Musée, il est chargé par l'Université de résister à cette prétention. Il est alors l'objet d'une campagne de diffamation conduite par un lobby puissant.L'auteur décrit dans cet ouvrage comment un réseau corporatif et mafieux disposant de complicités dans la magistrature aixoise a couvert les dérives du juge Le Gallo dans l'instruction de l'Affaire Vasarely. Le résultat du désastre judiciaire de l'affaire Vasarely est consternant : les pilleurs du musée ont perpétré, dans une totale impunité, un hold-up de 103 millions de francs alors que Charles Debbasch, parce qu'il s'est opposé au dépouillement de la Fondation, a été sali et embastillé. Ce livre n'est pas une simple monographie sur un scandale judiciaire mais aussi une puissante réflexion sur les causes des erreurs de la justice. Des enquêteurs déviants rêvant de mettre en cause des personnalités connues, un juge d'instruction omnipotent et partial qui confond son rôle avec celui d'un procureur, une solidarité judiciaire corporative qui couvre les erreurs et les fautes professionnelles et des réseaux de connivence qui enferment la justice dans leurs filets.Voilà pourquoi Charles Debbasch peut écrire sans être démenti : je dénonce une justice déviante qui a eu recours au mensonge et à la diffamation pour éviter que n'éclate un scandale judiciaire. Mais, comme le dit un proverbe africain, la vérité est lente mais elle finit toujours par attraper le mensonge.

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