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Loin du mélodramatique et du pathos, Anne Teyssèdre décrit avec une certaine distance et analyse sans apitoiement ce qu'éprouvent les personnages de ses deux récits, après le drame qui vient de les frapper.
Le premier récit, prélude au second, témoigne de la peine de Jean à la mort de sa femme, sa compagne de toute une vie.
Dans le second récit, Anne, fillette de dix ans, vient de perdre son père. On suit l'évolution de ses pensées et de ses émotions, si longtemps douloureuses, jusqu'au moment où la petite fille ayant grandi s'apaise enfin, grâce à l'effet magique d'une photo d'elle à l'âge de trois ans dans les bras de son père. Cette photo donnera lieu à une méditation sur la vie et la mort, méditation qui ne concerne pas seulement l'auteur de ce récit autobiographique mais chaque être humain face à la perte d'un être cher.
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