"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le nom de Charles Ier d'Angleterre (1600-1649) évoque deux images contrastées : celle du fringant gentilhomme en veste de satin blanc, tel que l'a représenté Van Dyck, et celle du monarque déchu montant à l'échafaud en murmurant à l'oreille de l'évêque Juxon un mystérieux " Remember ".
Le souvenir de ce roi est lié à ceux de Buckingham, son ami, et de Cromwell, son ennemi. Dans sa vie privée, Charles fut le meilleur des maris, un père affectueux, un amateur d'art éclairé. Comme beaucoup de personnages de tragédie, le malheur le révéla à lui-même. La vie des camps, la prison lui apprirent ce qui lui avait toujours manqué comme souverain : le contact humain, la tendresse. Même captif il ne renonça pas aux valeurs sur lesquelles il avait fondé sa vie : " Dieu m'est témoin qu'il ne s'agit là que d'honneur et de fidélité.
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