"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'imbrication des crises et des guerres, les faux-semblants du développement et la poussée des inégalités témoignent de l'illusion d'une société démocratique fondée sur les artifices d'une croissance « inclusive » et du « libre » échange.
Des résistances et des critiques mettent à nu et dénoncent - plus que jamais - un modèle inique et insoutenable.
Ce faisant, elles se nourrissent, en creux, d'une soif utopique et d'une volonté de construire un autre monde de possibles.
Au Sud, de nombreuses pistes pour un changement de paradigme ont émergé ces dernières années.
Elles se cristallisent autour de concepts clés comme le buen vivir - c'est-à-dire, pour paraphraser le programme du Conseil national de la résistance, les « jours heureux » -, l'économie solidaire, le féminisme décolonial ou les biens communs (l'eau, les ressouces naturelles, etc.).
Que recouvrent ces conceptions ?
Comment se conjuguent-elles et se déclinent-elles selon les lieux et les acteurs ?
Au-delà des spécificités, des lignes communes se dessinent.
Les luttes sont appréhendées de manière plurielle, en fonction de leur nécessaire interconnexion, et non plus à partir de l'alignement sur la classe révolutionnaire.
La transformation est pensée de pair avec la transition, pour ne pas reporter les changements et pour souligner le potentiel créatif de pratiques actuelles.
La recherche d'une harmonie - entre les personnes, avec la nature - est aux premières loges.
'imbrication des crises et des guerres, les faux-semblants du développement et la poussée des inégalités témoignent de l'illusion d'une société démocratique fondée sur les artifices d'une croissance « inclusive » et du « libre » échange.
Des résistances et des critiques mettent à nu et dénoncent - plus que jamais - un modèle inique et insoutenable.
Ce faisant, elles se nourrissent, en creux, d'une soif utopique et d'une volonté de construire un autre monde de possibles.
Au Sud, de nombreuses pistes pour un changement de paradigme ont émergé ces dernières années.
Elles se cristallisent autour de concepts clés comme le buen vivir - c'est-à-dire, pour paraphraser le programme du Conseil national de la résistance, les « jours heureux » -, l'économie solidaire, le féminisme décolonial ou les biens communs (l'eau, les ressouces naturelles, etc.).
Que recouvrent ces conceptions ?
Comment se conjuguent-elles et se déclinent-elles selon les lieux et les acteurs ?
Au-delà des spécificités, des lignes communes se dessinent.
Les luttes sont appréhendées de manière plurielle, en fonction de leur nécessaire interconnexion, et non plus à partir de l'alignement sur la classe révolutionnaire.
La transformation est pensée de pair avec la transition, pour ne pas reporter les changements et pour souligner le potentiel créatif de pratiques actuelles.
La recherche d'une harmonie - entre les personnes, avec la nature - est aux premières loges.
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