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Une femme écrit une longue lettre à l'homme qu'elle n'aime plus.
Tout commence dans la chambre 411 de l'hôtel National de Rome. « Deux jours et deux nuits à nous toucher, à parler, à respirer la peau de l'autre, bouche contre bouche. Et quand nous avons dû la quitter, cette chambre, en refermant la porte nous ne nous sommes pas retournés [.] nous étions trop occupés à commencer une histoire d'amour et nous regardions devant nous, pas derrière. Il y avait de l'espoir, et la promesse de nombreux autres jours comme celui-ci. »
Pas d'exaltation, pas de cris ni de lieux communs : simplement l'immense étonnement devant le bonheur de se donner, puis face à la fissure banale dans laquelle, déjà, elle pressent la fin de leur histoire. Lucide, elle se regarde aimer puis se détacher, examine les changements de l'homme qui l'accompagne, dépeint les mouvements du coeur et du corps, semblables pour tous et cependant uniques.
Simona Vinci, dans une prose aérienne et ciselée, explore les variations du coeur, entre fusion et rejet. Un chef-d'oeuvre de justesse et d'intensité.
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