80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Notre société a un problème avec la mort : surmédiatisée sur les écrans de télévision, de cinéma et dans nos jeux vidéo, elle est soigneusement écartée de l'espace public.Au 15e siècle, avec les grandes épidémies de peste en Europe, la mort est omniprésente. On la tourne en dérision dans des « danses macabres » où des squelettes peints sur les murs viennent rappeler aux humains leur fragilité et leur finitude. Cet art macabre opère une véritable révolution dans le rapport à l'image. Il ouvre la voie à de nouvelles formes de création dans les domaines de la poésie et de la littérature, du théâtre ou du cinéma.On sera surpris de constater à quel point la fascination de la mort se retrouve aujourd'hui dans notre société à travers différentes formes d'expression ou phénomènes de mode. Ce qui interroge bien entendu notre rapport avec l'au-delà. Ce livre contient plus de cent-vingt illustrations en relation avec l'art macabre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année