"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Cerise vit seule avec son père, qui travaille dans une fourrière. Elle aime s'évader dans ses romans et grignoter du chocolat et du gorgonzola. En revanche, elle déteste les cerises, ces fruits qui lui ont donné son prénom, et l'école, où l'on se moque de ses rondeurs. Comment espérer que le bel Angelo qui fait fondre les filles à la récré puisse un jour la regarder ?
Un matin, Cerise découvre au fond d'une cage de la fourrière une petite chienne peu ordinaire. C'est un shar-pei, une petite boule de plis venue des pays d'Asie. Avec ses kilos de peau en trop, elle et Cerise forment un beau duo ! Les deux amies deviennent inséparables, Cerise a trouvé sa Griotte. Le père de Cerise l'avertit : Griotte n'est pas à elle, il lui faudra un jour s'en séparer. Devant la détresse de sa fille, il lui promet cependant qu'elle lui appartiendra si au bout d'un mois personne ne la réclame. Le trentième jour, Cerise est inquiète : trois personnes se présentent à la fourrière...
L'univers riche et sensible de Benjamin Lacombe évoque avec tendresse la solitude, la différence et l'amitié.
lien vers ma chronique:http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/cerise-griotte-de-benjamin-lacombe/
Le mot de la fin : Voici un album aux dessins parfaits, à l’histoire pouvant toucher tous les âges. A nouveau, un coup de cœur pour cet ouvrage à l’esprit gothique et gourmand. J’ai apprécié le clin d’œil au chien Gigi de l’auteur et à Tim Burton dans la première image ;).
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