Après l'échec de la conjuration du Solstice, Amalia Van Esqwill et Yonas Russmor ont fui Dehaven et trouvé refuge dans les ruines de la tour de Garde. Aidés d'autres fugitifs, ils tâchent d'en faire un havre de paix pour tous ceux que la répression ou la guerre chassent de chez eux. Pour autant, la jeune femme n'oublie pas que le héraut des tréfonds menace encore. Mais comment parviendra-t-elle à l'arrêter ? Malgré toute son éducation, elle ne connaît ni l'usage des armes, ni l'art de la magie...
Voilà c’est fini. Allez juste pour le plaisir de remettre en avant cette double trilogie.
Dans ce deuxième troisième tome, les personnages de Capitale du Sud et du Nord se croisent et cette fois c’est leur quotidien du point de vue d’Amalia. Amalia reste égale à elle-même tout en évoluant beaucoup au contact des autres. Elle n’est pas hyper adapté socialement, maitrise presque aucun code social et l’idée de vivre avec de plus en plus « d’inconnus » est une épreuve. C’était vraiment chouette, bon toute la saga est géniale mais l'idée d'avoir dans un premier temps comment Amalia est perçue puis se plonger dans la raison de son comportement et son regard sur la situation est vraiment une sacrée plus-value. J’ai adoré la voir se débattre avec tous les bons vivants qui savent interagir entre eux, eux. J’adore cette saga, j'adore cette conclusion. Il ne manque qu’une chose : le livre de cuisine. On ne peut pas parler pendant 6 tomes de bonnes ripailles sans fournir le livre de cuisine qui va avec.
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