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Ce volume des Cahiers d'anthropologie sociale présente les résultats d'une journée d'étude organisée le 22 novembre 2018 au Collège de France pour engager une réflexion collective sur la manière dont les êtres vivants sont utilisés pour fabriquer des artefacts - ce qui implique aussi de se pencher sur des situations dans lesquelles les organismes sont eux-mêmes traités comme le sont des objets. En choisissant d'inviter des chercheurs réfléchissant à la question de la figuration, nous proposions d'appréhender un double niveau d'intervention. Il importe d'abord d'être attentif à la transformation des éléments provenant d'êtres vivants, afin de scruter comment des processus techniques les font passer d'un état à l'autre, leur conférant in fine de nouveaux statuts.
Un des enjeux est alors de déterminer ce que les éléments transformés maintiennent de la source de vitalité d'où ils sont extraits ou s'ils font l'objet d'un changement radical. La compréhension de ces chaînes opératoires implique, ensuite, d'éclairer les relations qui s'établissent entre les éléments qui composent les artefacts, autant qu'avec ce qui les environne.
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