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Elle est tout ce que j'ai. Elle détient au creux de ses reins mon existence. Je lui dois tout. Je serais prêt à tout pour elle. J'ai déjà usé de force, de menaces et je serais prêt à tuer s'il le fallait. Personne ne l'aura, elle est à moi et elle le sait. Pourtant, elle ne peut s'empêcher d'aller se faire baiser ailleurs. Pourquoi ? J'ai cherché des réponses longtemps. Je n'ai trouvé que des pleurs et de la détresse. Je me suis retrouvé devant une femme en manque. En manque de sexe, en manque de violence, en manque d'amour. Je ne serai jamais les autres.
Je viens de terminer le dernier livre d’Eva Adams et comment vous dire ? Je n’ai pas aimé mais alors pas du tout. Tout au long de ma lecture je me suis sentie de plus en plus mal, à la limite de l’écœurement voir de la nausée. Ne croyez pas que je sois novice dans ce type de lecture, au contraire je suis une fervente lectrice de dark-romances se passant dans le milieu du BDSM Hard telle que peut nous les conter Dany Tyran par exemple. Ici, l’histoire tout n’est que violence, dégradation, humiliation et surtout dans dark romance il y romance, ici je n’en ai ressenti aucune. Là où l’auteur nous parle d’amour fou, exclusif et passionnel, je n’ai vu que possession, perversion et manipulation. Ce n’ai pas du tout l’idée que je me fais de l’amour et cela ne me correspond pas. Les scènes BDSM sont de plus en plus hard et ressemblent a une description d’une vidéo porno de type Bdsm hard gang bang etc… j’ai eu du mal aussi avec le choix de l’auteure de prendre le personnage masculin principal sans même lui attribuer un prénom, ce « il » qui raconte l’histoire, ne m’a permis, ni identification, ni empathie ni même compréhension de ces dialogues. Souvent le personnage principal s’en prend à la société gratuitement, lui reprochant tout et n’importe quoi ( allant du réchauffement climatique à la nourriture bio)dans une logorrhée verbale pleine de haine et de mépris pour les « Monique » et les quidams que nous sommes. Nous pauvres humains qui ne connaissons pas la vraie jouissance apportée par la douleur. Je ne m’étendrais pas sur les fautes d’orthographe et de syntaxes, aujourd’hui c’est plutôt l’inverse qui est surprenant et moi-même il m’arrive d’en faire mais à la fois moi je ne suis pas écrivain. Pour finir j’étais vraiment heureuse que le livre face seulement 150 pages, je ne pense pas que j’aurai eu le cœur bien accroché pour aller plus loin. Je précise aussi que je n’ai pas reçu ce livre en SP.
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