Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
C'est la panique à Locmaria ! Le cadavre d'une femme est découvert dans un gîte. La petite station balnéaire n'a décidément plus rien de tranquille depuis l'arrivée de Cathie Wald !
Notre joyeuse quinquagénaire se retrouve aussitôt dans le viseur de la gendarmerie, car elle connaît bien la victime, qu'elle avait choisie comme guide touristique lors d'une excursion en Alsace avec des habitants du village.
Mais l'attention des forces de l'ordre se reporte rapidement sur Annick Rochecouët, la patronne du Timonier oriental, dont le mari avait fait les yeux doux à la morte. Entre sa jalousie légendaire et ses empreintes partout sur la scène de crime, pas besoin d'être Colombo pour tirer les conclusions qui s'imposent.
Des conclusions un peu trop faciles au goût de Cathie qui va reprendre l'enquête. Et prouver une fois de plus qu'une Alsacienne peut être aussi (têtue) persévérante que des Bretons, surtout s'il s'agit de faire éclater la vérité !
Une femme vient d'être assassinée dans une maison isolée.
La petite ville de Locmaria est en ébullition.
La plupart des habitants se lance dans l'enquête, et particulièrement Cathy, une alsacienne devenue bretonne.
Ça se lit vite et bien mais ça n'a rien d'exceptionnel.
Dommage qu'on soit à la Toussaint, c'est le type même de livre à lire a la plage pour se détendre.
Il semblerait que ce soit le quatrième d'une série, je suppose qu'ils sont tous du même acabit.
Si le hasard me met un jour en présence des autres, je les lirai sans déplaisir mais sans passion non plus.
C’est la panique à Locmaria ! Le cadavre d’une femme est découvert dans un gîte. La petite station balnéaire n’a décidément plus rien de tranquille depuis l’arrivée de Cathie Wald !
Notre joyeuse quinquagénaire se retrouve aussitôt dans le viseur de la gendarmerie, car elle connaît bien la victime, qu’elle avait choisie comme guide touristique lors d’une excursion en Alsace avec des habitants du village.
Mais l’attention des forces de l’ordre se reporte rapidement sur Annick Rochecouët, la patronne du Timonier oriental, dont le mari avait fait les yeux doux à la morte. Entre sa jalousie légendaire et ses empreintes partout sur la scène de crime, pas besoin d’être Colombo pour tirer les conclusions qui s’imposent.
Des conclusions un peu trop faciles au goût de Cathie qui va reprendre l’enquête. Et prouver une fois de plus qu’une Alsacienne peut être aussi (têtue) persévérante que des Bretons, surtout s’il s’agit de faire éclater la vérité !
Ah Cathie et ses enquêtes !! Notre Alsacienne ne peut à nouveau pas s'empêcher de mettre son nez dans les affaires bretonnes ! Mais si, c'est en plus demandé par les forces de l'ordre, comment refuser ?
Ce 4e tome reste dans la lignée des 3 autres, maid j'adore suivre cette enquêtrice Alsacienne comme moi et de son ami Yann.
Humour, amitié, amour, vengeance et rivalité sont au cœur de ce roman.
Il est celui qui se rapproche le plus de ma BD préférée : Astérix !
En effet, les clichés sont là, les ragots et rumeurs courent aussi vite qu'entre Bonnemine et ses copines, mais ce, pour notre plus grand plaisir.
Et clin d'œil supplémentaire : il y a même un banquet final (mais pas de sanglier, n'en déplaise à Obélix).
Les personnages sont de plus en plus attachants et j'aime beaucoup pouvoir suivre l'évolution des relations entre eux.
Les chapitres assez courts, permettent de donner un rythme rapide, nous faisant dévorer les pages plus rapidement que nous pensons.
Une lecture plaisante, qui se lit avec panache et humour, sans prise de tête.
En décembre, un petit groupe de bretons du village de Locmaria s’était offert un séjour en Alsace, pour visiter les marchés de Noël et gouter aux spécialités alsaciennes. C’est Cathie Wald qui avait tout organisé, elle l’alsacienne établie en Bretagne. Sur place, c’est la charmante Cléopâtre Klingenthal qui leur avait servi de guide, et la jolie alsacienne avait émoustillé pas mal de visiteurs bretons. Lorsqu’en février, Cléopâtre est retrouvée morte dans une maison isolée de Locmaria, sans que personne ne soit même au courant qu’elle était en Bretagne, les langues vont bon train. Cathie, comme tous les autres habitants de ce petit village, décident d’enquêter sur ce crime odieux qui, selon eux, ternit l’image de leur Bretagne.
On m’a offert ce « cosy crime » qui s’avère être le troisième (ou la quatrième, ce n’est pas très clair) volume d’une série basée sur Cathie Wald, l’alsacienne partie en Bretagne ouvrir un restaurant de tartes flambées. Apparemment, il lui arrive beaucoup de chose, à cette quinquagénaire dynamique. D’habitude, je me fais fort de lire les romans dans l’ordre mais ici, on ne peut pas dire que cela m’aie vraiment dérangé de ne pas connaitre l’antériorité des personnages, quelques petites allusions ici ou là m’ont permis de tout comprendre sans forcer. En fait, il n’y a rien à forcer dans ce roman, l’intrigue est facile à suivre, elle est double : qui a tué Cléopâtre (et que faisait-elle en Bretagne incognito : la seconde question étant bien entendue à la source de la première) ? Cette énigme se double d’une seconde intrigue, qui concerne une jeune femme réfugiée à Locmaria et qui semble fuir un homme dangereux. Les deux intrigues sont-elles liées ? Je n’en dirais pas davantage. Ecrit dans un style léger, parfois drôle, parfois gentiment naïf, le roman est d’une facilité déconcertante à lire. On fermera pudiquement les yeux sur le manque de nuance, de profondeur et de complexité de la plupart des personnages, ici on est dans le polar confortable, en chaussons fourrés. C’est bien pour cela que l’on parle de « cosy crime », c’est un polar léger (un roman noir gris clair, en quelque sorte !), sans prétention, mais qui ne laissera pas autre chose au lecteur qu’un plaisir fugace. Même si cette lecture était loin d’être désagréable, pas sur que je persiste dans ce style de roman un peu trop « tendre » pour moi. Le dénouement est assez banal, évidemment crédible mais pas ébouriffant pour deux sous. « Bretzel et Beurre salé – Loin des yeux, loin du cœur » vaut surtout en fait pour la tendresse évidente que portent les deux auteurs à la Bretagne et à l’Alsace.
bien construit et bien écrit,on goûte aux charmes conjugués de la Bretagne et de l'Alsace qui nous mettent l'eau à la bouche!on réfléchit sur la notion de couple et la fidélité. tout cela mine de rien!!!!
un bon moment de lecture.
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